Article intéressant pour les propriétaires de 1200 GS.
Faut-il changer pour la nouvelle 1250 GS?
Pour le look - gardez votre argent
Pour le châssis - gardez votre argent
Pour l'agrément moteur - ça vaut, un peu, la peine de changer
Pour les performances moteur - ça vaut vraiment la peine de changer
Pour l'équipement - gardez votre argent
Pour la fiabilité - la grande inconnue
Au niveau du moteur, la 1250 augmente sa note (de 7 à 9/10).
"Alors, faut-il acheter la nouvelle GS? Si vous possédez une version 2018, voire 2017, l'intérêt n'est pas forcément flagrant. Autant attendre une année que le premier millésime de 1250 soit mis à l'épreuve et, au passage, que quelques motos se retrouvent sur le marché de l'occasion. Attention, sur le papier comme sur la route, cette nouvelle GS est meilleure que sa devancière. C'est un fait. Mais seulement grâce à son moteur. Pour le reste, châssis, design, équipement, c'est tout bonnement la même. Si vous possédez un des derniers Boxer à air (2010-2012, avec les doubles ACT), il y a alors un vrai gap avec la toute nouvelle 1250. Et ce à tous les niveaux. Reste que ce "bon vieux moteur" conserve un agrément et un capital sympathie encore bien vivant chez les amateurs de la firme bavaroise. Bon si vous avez les moyens et tout simplement envie de vous faire plaisir, on ne va pas vous engueuler non plus. Foncez vous offrir la GS 2019, elle ne vous décevra pas."
19 décembre 2018
17 décembre 2018
1250 GS - Essai AcidMoto
http://acidmoto.ch/cms/content/essai/2018/12/17/essai-bmw-r-1250-gs-2019-bonheur-est-dans-came
Me voici en route pour affronter la ville. J’y apprécie immédiatement la souplesse du moteur qui reprend sans broncher dès le ralenti.
L’agilité du châssis est également bluffante, je comprends très vite pourquoi tant de monde ne jure que par la GS. Après une poignée de kilomètres, je me surprends à faire un demi tour sur route avec le guidon en quasi butée. Il faut une sacrée dose de confiance et d’habituation à son véhicule pour faire ça… sauf avec la GS.
Le plus étonnant est la façon dont le moteur délivre sa puissance. Avec le système ShiftCam, je m’attendais à ressentir une transition, un peu comme sur les anciens systèmes V-Tec de chez Honda, là il n’en est rien. Dès les plus bas régimes les deux gros pistons poussent fort et plus vous montez dans les tours plus la poussée se fait intense. Au point que bien souvent je me sens obligé de… rendre la main !
Le moteur ShiftCam n’est donc pas une évolution mais une vraie révolution. Il pousse fort dès les plus bas régimes et avec cette vigueur permet de rouler un rapport en-dessus, donc de faire baisser la consommation.
Son châssis agile et mettant en confiance permet de rouler en toute sécurité sans se fatiguer. Bref, la BMW R 1250 GS n’est pas prête à tomber de son trône et on lui pardonne très volontiers ses deux trois défauts.
Donc oui, le bonheur est bel est bien dans la came, et celles de la GS a de quoi vous rendre complètement addict ! Il suffit de passer quelques jours sur la selle de cette allemande pour avoir des envies d’évasion et de partir rouler loin loin, car à son guidon tout semble possible ! Allô M’sieur BMW, ça serait pour une offre.
Me voici en route pour affronter la ville. J’y apprécie immédiatement la souplesse du moteur qui reprend sans broncher dès le ralenti.
L’agilité du châssis est également bluffante, je comprends très vite pourquoi tant de monde ne jure que par la GS. Après une poignée de kilomètres, je me surprends à faire un demi tour sur route avec le guidon en quasi butée. Il faut une sacrée dose de confiance et d’habituation à son véhicule pour faire ça… sauf avec la GS.
Le plus étonnant est la façon dont le moteur délivre sa puissance. Avec le système ShiftCam, je m’attendais à ressentir une transition, un peu comme sur les anciens systèmes V-Tec de chez Honda, là il n’en est rien. Dès les plus bas régimes les deux gros pistons poussent fort et plus vous montez dans les tours plus la poussée se fait intense. Au point que bien souvent je me sens obligé de… rendre la main !
Le moteur ShiftCam n’est donc pas une évolution mais une vraie révolution. Il pousse fort dès les plus bas régimes et avec cette vigueur permet de rouler un rapport en-dessus, donc de faire baisser la consommation.
Son châssis agile et mettant en confiance permet de rouler en toute sécurité sans se fatiguer. Bref, la BMW R 1250 GS n’est pas prête à tomber de son trône et on lui pardonne très volontiers ses deux trois défauts.
Donc oui, le bonheur est bel est bien dans la came, et celles de la GS a de quoi vous rendre complètement addict ! Il suffit de passer quelques jours sur la selle de cette allemande pour avoir des envies d’évasion et de partir rouler loin loin, car à son guidon tout semble possible ! Allô M’sieur BMW, ça serait pour une offre.
16 décembre 2018
1250 GS - comparaison avec la Ducati
http://www.moto-net.com/article/duel-r1250gs-vs-multistrada-1260-s-distribution-variable-polyvalence-unique-1-duel-r1250gs-vs-ducati-1260-s-page-1-l-escalade-continue.html
Premier duel et première victoire pour la R1250GS : une demi-surprise dans la mesure où à l'exception du moteur, elle est identique au précédent modèle qui faisait déjà référence.
C'est donc uniquement sur un plan mécanique que la BMW justifie son statut de nouveauté : la pièce maîtresse est son nouveau bicylindre à distribution variable, à la fois meilleur en termes de performances et d'agrément. Bien aidé par sa cylindrée en hausse et son ShiftCam, le Boxer de 1254 cc offre davantage de tonus et de "rondeur" que l'ancien 1170 cc. Les connaisseurs apprécieront, car ce n'est pas un mince exploit !
La Multistrada 1260 S - plus caractérielle et moins polyvalente - secoue mais ne bascule pas le trône sur lequel siège confortablement le maxitrail d'outre-Rhin. Reste qu'il s'agit de la moto la plus confortable et complète de la gamme Ducati, sans pour autant renier l'ADN sportif de la marque. En cela, le trail italien est une vraie réussite !Pro
la comparaison tant attendue des performances et de l'agrément des deux bicylindres à distribution variable ! Premier constat : à 80 km/h en sixième, la R1250GS et la Multistrada 1260 S affichent toutes les deux exactement 2750 tr/mn.
Deuxième constat : le Boxer allemand - parfaitement injecté - évolue sereinement à ce régime et repart puissamment à la moindre sollicitation, quand le twin italien flirte avec son seuil de souplesse. Résultat : la Multistrada 1260 reste "plombée" loin derrière sa rivale lors de nos tests de reprise. A 80 km/h, il lui faut descendre en cinquième pour tenir tête à la R1250GS en sixième !
L'avantage s'accroît encore à bas régimes : en sixième, la GS descend sans peiner jusqu'à 41 km/h à 1500 tr/mn (!), puis repart sans un cahot même en mode "Sport". Soumise au même exercice, la Multistrada 1260 manque de caler sous 2000 tr/mn et exige d'apprivoiser la légère rugosité de son filet de gaz. L'élasticité de l'allemande est une alliée précieuse, en ville comme en duo.
Sous 5000 tr/mn, quel que soit le rapport engagé, la R1250GS part devant la Multistrada 1260 S. Ducati va devoir réviser son argumentaire : la plus "costaude", c'est la BMW ! Le Boxer développe un remplissage optimal, avec une crête de couple à 143 Nm qui terrasse sa rivale. La précédente R1200GS n'était déjà pas feignante, mais la nouvelle est encore plus réactive à tous les régimes !
Premier duel et première victoire pour la R1250GS : une demi-surprise dans la mesure où à l'exception du moteur, elle est identique au précédent modèle qui faisait déjà référence.
C'est donc uniquement sur un plan mécanique que la BMW justifie son statut de nouveauté : la pièce maîtresse est son nouveau bicylindre à distribution variable, à la fois meilleur en termes de performances et d'agrément. Bien aidé par sa cylindrée en hausse et son ShiftCam, le Boxer de 1254 cc offre davantage de tonus et de "rondeur" que l'ancien 1170 cc. Les connaisseurs apprécieront, car ce n'est pas un mince exploit !
La Multistrada 1260 S - plus caractérielle et moins polyvalente - secoue mais ne bascule pas le trône sur lequel siège confortablement le maxitrail d'outre-Rhin. Reste qu'il s'agit de la moto la plus confortable et complète de la gamme Ducati, sans pour autant renier l'ADN sportif de la marque. En cela, le trail italien est une vraie réussite !Pro
la comparaison tant attendue des performances et de l'agrément des deux bicylindres à distribution variable ! Premier constat : à 80 km/h en sixième, la R1250GS et la Multistrada 1260 S affichent toutes les deux exactement 2750 tr/mn.
Deuxième constat : le Boxer allemand - parfaitement injecté - évolue sereinement à ce régime et repart puissamment à la moindre sollicitation, quand le twin italien flirte avec son seuil de souplesse. Résultat : la Multistrada 1260 reste "plombée" loin derrière sa rivale lors de nos tests de reprise. A 80 km/h, il lui faut descendre en cinquième pour tenir tête à la R1250GS en sixième !
L'avantage s'accroît encore à bas régimes : en sixième, la GS descend sans peiner jusqu'à 41 km/h à 1500 tr/mn (!), puis repart sans un cahot même en mode "Sport". Soumise au même exercice, la Multistrada 1260 manque de caler sous 2000 tr/mn et exige d'apprivoiser la légère rugosité de son filet de gaz. L'élasticité de l'allemande est une alliée précieuse, en ville comme en duo.
Sous 5000 tr/mn, quel que soit le rapport engagé, la R1250GS part devant la Multistrada 1260 S. Ducati va devoir réviser son argumentaire : la plus "costaude", c'est la BMW ! Le Boxer développe un remplissage optimal, avec une crête de couple à 143 Nm qui terrasse sa rivale. La précédente R1200GS n'était déjà pas feignante, mais la nouvelle est encore plus réactive à tous les régimes !
12 décembre 2018
08 décembre 2018
1250 GS - comparaison de 3 générations suite
Autre comparaison par Moto Revue.
La 2010 ne sort pas première mais elle n'est pas ridicule. Surtout avec un prix divisé par deux voir trois par rapport à une 2019.
"C’est pour un leasing ? Un achat dont le financement sera inclus dans un exercice professionnel, fiscal ? Une envie exclusive d’achat neuf ? Alors d’accord, on ne discute pas, le choix se porte évidemment sur la R 1250 GS et vous ne devriez pas être déçu. En cas de financement plus conventionnel, pourquoi ne pas plutôt se tourner vers l’une des toutes dernières 1200 produites, neuve ou presque, mais surtout plus avantageuse financièrement et qui dynamiquement, vous en proposera tout autant ? Vous possédez une GS « double arbre à air » et vous pensez à la remplacer ? Sachez qu’il s’agit là d’un collector au caractère entier. Certains y sont d’ailleurs revenus après avoir tenté l’expérience « liquide ». Vous l’avez compris, nous ne sommes pas en mesure d’en désigner une meilleure que les autres. Mais vous l’avez sans doute également senti, nous nous laisserions plus sûrement charmer par une GS à air, de préférence peu ou moyennement kilométrée
mais également correctement optionnée, ceci pour s’assurer une revente/reprise plus facile."
Je ne peux qu'être d'accord avec la conclusion du journaliste :-) avec ma "nouvelle" GS air de 2010. Nouveau filtre à air, nouvelle admission, pot Akra et PowerCommander ... manque juste le collecteur pour donner tout ce qu'elle a.
La 2010 ne sort pas première mais elle n'est pas ridicule. Surtout avec un prix divisé par deux voir trois par rapport à une 2019.
"C’est pour un leasing ? Un achat dont le financement sera inclus dans un exercice professionnel, fiscal ? Une envie exclusive d’achat neuf ? Alors d’accord, on ne discute pas, le choix se porte évidemment sur la R 1250 GS et vous ne devriez pas être déçu. En cas de financement plus conventionnel, pourquoi ne pas plutôt se tourner vers l’une des toutes dernières 1200 produites, neuve ou presque, mais surtout plus avantageuse financièrement et qui dynamiquement, vous en proposera tout autant ? Vous possédez une GS « double arbre à air » et vous pensez à la remplacer ? Sachez qu’il s’agit là d’un collector au caractère entier. Certains y sont d’ailleurs revenus après avoir tenté l’expérience « liquide ». Vous l’avez compris, nous ne sommes pas en mesure d’en désigner une meilleure que les autres. Mais vous l’avez sans doute également senti, nous nous laisserions plus sûrement charmer par une GS à air, de préférence peu ou moyennement kilométrée
mais également correctement optionnée, ceci pour s’assurer une revente/reprise plus facile."
Je ne peux qu'être d'accord avec la conclusion du journaliste :-) avec ma "nouvelle" GS air de 2010. Nouveau filtre à air, nouvelle admission, pot Akra et PowerCommander ... manque juste le collecteur pour donner tout ce qu'elle a.
Inscription à :
Articles (Atom)